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Compagnons de Château-Gontier : Projet "Colombie 2014"

24 janvier 2015

Voici le lien de notre vidéo

projet colombie 2014 du groupe de Château-Gontier

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29 juillet 2014

Sensibilisation auprès des jeunes

Buenos Dias, c'est la fin et le départ est dans 5 heures. Du coup petit résumé des derniers jours. Pour commencer, les écoles : deux, une à Mosquera et l'autre à Funza.

À Mosquera nous sommes acceuillis par le directeur qui nous demande d'expliquer notre projet aux professeurs, puis nous partons avec une des ensaignantes chargées du developpement de l'agriculture dans le collège. Nous réalisons plusieurs activités : soigner les poules, réparer une clôture, préparer des mini potager, fabrication d'un mur végétal (petite surprise), et enfin le vernissage au goudron d'une structure en bois.

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Après ces quelques travaux nous traversons la cour de récréation et ces l'atroupement autour de nous, enfin ca l'a été pendant presque toute la matinée, On se dirige vers les classes des plus jeunes qui nous remercient, on nous demande de chanter en francais et ils nous répondent avec un chant colombien.

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Nous sommes allés dans une autre école, pour entrenir leur espace vert. Pendant que d'autre répare leur clôtures, d'autre d'héserbe les haies. L'objectif de cette action est aussi de sensibiliser les jeunes à l'entretien de leurs espaces verts. 

Après le travail, nous n'hésitons pas à discuter avec les étudiants et leurs professeurs, encore une fois nous sommes en peu l'attraction de la journée pour eux. Les plus jeunes nous demandent même des autographes.

28 juillet 2014

Visite au centre de recherche

Vendredi 25/07 nous nous sommes rendus au centre de recherche du ministere de l'agriculture (Corpoica). Ils développent en effet des techniques d'agriculture urbaine. Mais pas seulement, tout d'abord ils nous ont emmenés voir des cultures aériennes de pommes de terre.

Apres avoir fait germé les graines dans une solution riche en nutriments, les plants sont disposés sur des bâches.

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Sous ces bâches, est vaporisée cette solution nutritive. De ce fait, les racines et les tubercules grandissent mais sans terre. Ils peuvent ainsi contrôler la croissance des plants. Ces pommes de terres ne sont pas destinées á la consommation. Du moins pas encore. Il s'agit de recherchent pour augmenter la productivité des plants et les rendre plus résistantes. Apres 5 génerations et des essais en milieu réel, soit au bout d'au moins 3 ans, les graines peuvent être homologuées et vendues á des producteurs.

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Jean-Baptiste était tres attentif, et buvait les paroles de la guide...

 

 

Deuxieme partie de la visite : les jardins urbains. Ici, sont développés plusieurs types de plantations. On essaie á travers différents types de contenants de cultiver un maximum de légumes. On retrouve par exemple sur la premiere photo des tôles de toit pliées pour former des jardinieres, et un vieux tuyau percé permet d'irriguer le tout. Autre application: des sacs plastiques formés á partir de bâches qui permettent de planter verticalement. Autant d'idées qui vont par la suite pouvoir servir á s'adapter á chaque maison et chaque environnement.


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24 juillet 2014

Les Trecks : La Mesa et Guacheta

Nous sommes partis le lundi 14 Juillet en direction de la Mesa.

La première étape se parcourt en bus de Mosquera à Bojacá où nous decouvrons une jolie petite église de style colonial. Après une courte visite et quelques explications de Leonardo, direction la Mesa mais à pied cette fois, nous avons beaucoup de chance car nos gros sacs sont emmenés en voiture.

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La randonnée quel périple, nous empruntons la route du sel et cela n'est pas de tout repos : ATTENTION au glissades! En effet il existe un petit défi qui est de ne pas toucher le sol avec ses fesses, sinon tu payes ton "Petaco". Le changement d'altitude et de climat est très rapide, plus nous descendons mieux nous respirons et l'oxygène s'accompagne d'une chaleur plus pesante. Nous descendons en effet á environ 1000m d'altitude. Après 6 heures de marche nous arrivons à la Mesa, il est 16 heures et nous déjeunons enfin. Maintenant il est temps de prendre un bain dans une piscine, très très très agréable.

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Ce week-end ce sont les francais qui cuisinent, nous faisons donc quelques courses pour le repas et nous repartons en direction de la villa. Ayant mangé tard nous apprenons le jeu du Loup Garou au colombiens, le menu sera des pâtes bolognaises. Nous apprenons que nous pouvons faire la grasse matinée et nous en profitons. Journée repos et piscine au programme car nous repartons en bus pour le retour.

 

GUACHETA

Samedi 18 juillet. Nous nous levons tôt, pour partir pour un second treck, plus loin et plus en altitude cette fois. En effet, il faut prendre le bus pour au moins 3 heures, suivant l'état de la route le voyage n'est pas toujours de tout repos. 

Arrivés enfin à destination, nous nous dirigeons vers la maison de l'oncle de Cristian, qui nous accueille chaleureusement en nous offrant des arepas et un chocolat chaud. Avant de déjeuner nous partons faire des courses puis nous en profitons pour faire un tour en ville. Ce n'est qu'après le déjeuner qu'une petite ascencion nous attend. Déjà à 3000m, il nous faut encore monter. Nous rejoignons notre lieu de résidence pour la nuit : une maison plus qu'abandonnée. Enfin, installés, nous partons à la chasse aux scorpions, ils sont petits, noirs et cachés sous des pierres, pas vraiment très dangereux. 

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Vue sur Guacheta (ci-dessus)

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Voici le lac, avant ce même lac recouvrait toute la vallée.  

Le soir commence à tomber, nous préparons donc à manger à l'aide d'un feu de bois, même si cela prend du temps, des chants et la nuit étoilée suffisent à nous occuper. 

Le lendemain, nous descendons au marché hebdomadaire du dimanche, celui ci s'accompagne surtout de fruits et de légumes très variés. Après le déjeuner nous repartons en direction de Mosquera. Merci encore à l'accueil chaleureux de la famille colombienne.

24 juillet 2014

Jardines en los hogares

En plus de la création de bacs publics, nous nous tournons vers la mise en place de jardins chez des particuliers.
La premiere technique consistait á utiliser des demi-bidons en ferraille que remplissons d'un melange d'humus et de terre.

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Ceci fut onéreux et gaspillait du terreau, nous avons donc décidé de nous tourner vers une autre methode. Des moyens d'actions plus simple á mettre en place grâce á des panneaux publicitaires que nous recupérons aupres de commercants de Funza et Mosquera. Grâce á ce geste écologique, plus de gens se sentent concernés.

 

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Ils nous faut donc juste acheter des perches de bois et des clous afin de réaliser un cadre et le tour est joué !

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22 juillet 2014

Finis les balcons, on s'attaque aux quartiers !

Suite á la réunion, nous pouvons commencer la création de bacs publics pour un voisinnage. Le projet prend de l'ampleur et de la visibilité !

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Premiere étape, trouver du matériel : planches, terre et terreau, clous, outils... La mairie nous a prêté une camionnette pour tout transporter. Le terrain n'y est pas du tout favorable : comme partout, de multiples déchets particulierement les matériaux de construction sont laissés sur le sol. Seule une couche d'herbe a poussé. Nous construisons donc des cadres en bois, et utilisons des bâches pour isoler les jardins.

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Apres avoir mélangé terre et terreau, un voisin nous prête un tuyau d'arrosage. Nous plantons une centaine de plants par bac : salades, épinards, carottes, herbes aromatiques... Beaucoup de curieux viennent nous voir travailler, le projet les ravit ! Certains sont même venus nous aider. Une grande satisfaction du résultat de la part de tout le monde ! Nous avons hâte d'en faire d'autres.

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16 juillet 2014

las huertas

Bonjour à tous, 

Nous sommes bien rentrés dans le vif du sujet, en effet cette semaine nous avons fais plusieurs activités afin de développer l'agriculture et les jardins urbains.

Nous avons eu beaucoup d'explications et pu rencontrer des gens qui nous ont expliqué les problèmes existants dans la ville de Mosquera et en Colombie. 

Il faut savoir qu'à la base Mosquera était une ville plutôt agricole et ancienne du fait qu'elle se trouve sur deux routes anciennes celles de l'or et du sel. En 30 ans il y a eu un changement très radical dû à une très forte industrialisation. Ce qui pousse encore aujourd'hui á une très grande augmentation de constructions, que se soit des habitations ou des bâtiments industriels, ce qui entraine la destruction de terres agricoles extrêments fertiles : la fertilité de la terre est trés impréssionante, laissez une parcelle de terre en jachère et il vous poussera tout type de végétaux. 

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Ci dessus vous pouvez voir de la calendula, une plante au vertus médicinales qui n'a pas eu besoin d'aide pour s'étendre le long de la route.

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Petit remarque : Sur les chantiers la sécurité est plutôt négligée. C'est assez surprenant de voir des gens travailler sur des échaffaudages instables.

Un autre problème existentiel, dans la mentalité colombienne, les gens ne planifient rien en général, c'est assez contraignant quand il s'agit de parler de développement durable. Néanmoins cela ne nous a pas empécher d'aller installer des petits potagers urbains sur les terrasses du voisinage.

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De plus, nous sommes allé à une réunion afin de présenter le projet à des représentants de quartiers pour obtenir des parcelles où implanter des jardins collectifs. La présentation s'est très bien passée car nous avons obtenu une assez grande surface pour commencer et leur donner un apercu de ce que donnera un potager. Nous sommes très enthousiastes car le projet semble toucher les personnes présentes.

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Jeudi 10/07, nous sommes partis découvrir le projet d'agriculture urbaine de l'hôpital Pablo IV où nous avons rencontrer le jardinier Miguel qui nous a montré et expliqué ses créations. Tout est fait avec du recyclage (bouteilles en plastique, sceaux, perfusions ...), c'est un régal pour les yeux et encore plus pour l'écologie : observer, profiter et peut-être cela vous donnera des idées.

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Voilà une bonne et belle première semaine se termine, on attend la suite avec impatience.

16 juillet 2014

El tejo

Nous avons samedi soir (12/07) participé á un jeu typique local : le tejo (prononcez "téro").

Il s'agit d'un plan incliné recouvert d'argile au milieu duquel on trouve un cercle métallique et des petits sachets de poudre. Le but du jeu est, en se placant á une dizaine de metres, de lancer une sorte de poids circulaire au centre du cerle ou de faire exploser la poudre. La partie est gratuite mais il faut acheter (minimum) un petaco, comprenez une caisse de biere. Les parties peuvent donc être longues...

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Nous avons eu un peu peur parfois car il n'y avait pas de sécurité aux abords des "pistes". En effet, on pouvait jouer jusqu'á 3 parties en même temps dans la piece ! Imaginez voir des poids d'un demi kilo parcourir les airs...

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11 juillet 2014

Le chigüiro

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En français il est nommé Capybara, aussi orthographié parfois Capibara. Le nom de « capybara » vient de « capivara », mot qui signifie « Seigneur des herbes » dans la langue des indiens Guaranis. Il se nomme chigüiro en Colombie. Le Capybara (Hydrochoerus hydrochaeris) est une espèce de rongeur, un hystricognathe dont la taxinomie et la classification sont encore discutées et varient selon les auteurs. C'est le plus gros rongeur actuel. Il vit en Amérique du Sud où il mène la vie d'un mammifère social et semi-aquatique. Le capybara nage très bien et vit en groupe, les adultes s'organisant pour garder les petits. Un capybara adulte mesure entre 105 et 135 centimètres de long et pèse de 35 à 65 kilogrammes. C'est le plus gros rongeur du monde. Le corps du capybara est couvert de poils durs bruns et sa tête a un large museau. Ses yeux sont petits et situés au-dessus du nez qui est surmonté à son tour par une glande qui sert à marquer les objets avec ses sécrétions. Ses oreilles sont petites et arrondies. Il n'a pas de queue. Ses pattes de devant ont 4 doigts, celles de derrière ont 3 doigts. Il laisse des traces très caractéristiques sur les sols humides. Il est diurne et sa longévité est d'une douzaine d'années. La femelle cabiai peut avoir de deux à huit petits par portée avec une moyenne de quatre. La gestation dure approximativement 130 jours. Les nouveau-nés peuvent accompagner leur mère et manger comme elle, mais ils boivent du lait et ne sont pas sevrés avant 16 semaines. Le capybara fonde sa survie sur une étonnante cohésion sociale : il n'est pas rare que, dans un groupe formé d'une vingtaine d'animaux (3 à 4 mâles, 6 à 8 femelles et les jeunes), les jeunes d'âges divers soient confiés à l'un des adultes, mâle ou femelle. Ce « jardin d'enfants » permet aux parents de se baigner, de se nourrir ou de s'enduire de boue sans trop de risques pour leur progéniture. Il est aussi admis qu'une femelle allaitante se laisse téter par tous les petits du même groupe. Le mâle qui marque son territoire dirige le groupe.

Mais le chigüiro peut aussi se griller, c´est un met local délicieux, nous l´avons goûté l´autre jour. Il était accompagné de plátano (une sorte de grosse banane), yuca (manioc), arepas (une épaisse galette de maïs), pommes de terre et guacamole. ¡Buen provencho!

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8 juillet 2014

la primera Descubierta

 Buenos dias, 

Samedi 5 juillet : nous sommes allés a Bogotà pour visiter son centre historique. Nous avons utilisé les transports en communs, (les bus), leurs facon de conduire est assée particulière comparer à la france, même à Paris on ne verrait pas ca. Le plus beau point vue de la ville se situe sur la colline de Montserrat où nous sommes monter en utlisant le funiculaire. Nous avons assister à l'office de l'église de Montserrat (esta muy rapido que en Francia ). Ensuite Oscar, le frère d'une caravelle, nous a servi de guide pour nous montrer les points particuliers du centre historique de la capitale. En chemin nous a rejoint Lucia, une colombienne qui a vécu en France, elle nous a gentiment aider pour la traduction, ce qui a faciliter la visite. Nous avons vue : la place supposée être le point originel de la ville, la casa de Botero, la maison de la monnaie, la place du capitol avec le palais du président, le congrès , la mairie et la cathédrale. Et enfin le musée de l'or. 

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Cristian Portela

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Après une journée bien chargée nous retournons chacun dans notre famille d'acceuille pour profiter d'une bonne nuit de sommeil, car dimanche c'est jour de detente et de sport. Nous passons la journée chez Alejandra Ravelo où nous avons la chance de gouter une spécialité : Ajiaco, une soupe. Au retour nous prenons un bus adapté à la taille des colombiens, esta no cómodo.

 

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